Être voyant et /ou médium en 2024.

De tous temps, des individus ont été capables de deviner l' avenir, de faire des prophéties, d'avoir la vision d 'un évènement futur, d' une catastrophe ou d'évènements bénéfiques, ceci sous différentes formes.Les personnes qui lisent ces articles et s' intéressent à ces sujets savent déjà à quoi s' en tenir. Dans l' inconscient collectif ces personnes étaient et sont encore une énigme et même une crainte, un peu moins aujourd'hui.

Nous sommes en 2023, la situation sanitaire change la donne , mais la base reste la même, il y a enfin ! une lueur positive après deux ans de galère , les voyants sont toujours utiles. Après 12 ans d'exercice professionnel je peux faire le bilan et me dire que les voyants sont utiles et ont une place dans la société d 'aujourd'hui , comme celle d 'hier,

L'être humain est faible, sensible, comme un enfant, il a un besoin perpétuel d'être rassuré, le curé jouait un rôle important pour l’équilibre des familles, et le médecin lui aussi jouait un rôle capital, que nous reste t' il pour trouver un sens à notre vie quant elle bascule ? le voyant ? qui va enfin nous écouter , nous rassurer sur notre avenir incertain.

De nombreux cabinets travaillent 24h sur 24 ,7 jours sur 7, c 'est parfois pour un consultant la seule solution pour ne pas sombrer, je critique cependant certaines méthodes ruineuses mettant des personnes en difficultés. Les médias s’en mêlent et commencent à avertir les personnes des risques de ces pratiques.

Renseignez vous : un bon voyant a des clients, le bouche à oreille se fait, et c’est cela qui vous renseignera le mieux sur son honnêteté et ses capacités.

Rappelez vous toujours, que si les grandes lignes sont écrites, vous avez votre libre- arbitre, votre avenir dépends aussi de VOUS .

Vous pouvez me consulter, je ferai le maximum pour vous aider

Chris
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mercredi 12 février 2014

SE CONNAÎTRE AVEC LES CARTES

Se connaître avec les cartes

Les cartes de tirage ont longtemps été perçues comme un outil « ésotérico-magique ». De plus en plus, elles sont conçues comme un moyen de développer son intuition.

De plus en plus de jeux de cartes paraissent chaque année. Au traditionnel tarot de Marseille et autres classiques, s’ajoutent désormais des jeux destinés à nous mettre en relation avec notre inconscient, nos guides, ou notre intuition, selon la terminologie utilisée. Sur les 3 000 exemplaires du Voyage de Ritavan édités en octobre 2012 – des cartes joliment illustrées dont le personnage principal est un enfant de couleur bleue – plus de 1 500 se sont déjà vendus. « Les jeux sont porteurs de messages de l’âme, les gens qui les utilisent sont dans une démarche spirituelle portée par les peintures des cartes », indique Samuel Djian-Gutenberg, le créateur. « Les cartes prolifèrent et tous les milieux sociaux, toutes les catégories socio-professionnelles, sont désormais concernés », précise Claudia Trédaniel, des éditions du même nom. S’agit-il d’un nouvel avatar de la quête de soi ?

jeudi 4 octobre 2012

EXPRIMER SES ÉMOTIONS.

Exprimer ses émotions
pour apaiser ses peurs

Selon une récente étude américaine, plus une personne exprime ses émotions concernant une phobie, une situation stressante ou angoissante, plus elle a de chance de voir ses tensions apaisées et de retrouver son calme. Et plus les mots sont francs, meilleurs sont les résultats !
© Esmahan Ozkan
« La parole apaise la colère », disait Eschyle. Elle pourrait également apaiser les craintes, d'après une étude américaine parue dans la revue Pyschological Science : des phobiques des araignées ont en effet réussi à maîtriser leur peur, simplement en la verbalisant. Et plus les mots étaient francs, plus l'effet était important.
L'équipe du Dr. Katerina Kircanski à l'Université de Californie, Los Angeles a soumis 88 arachnophobes à une véritable épreuve : approcher le plus près possible d'une tarentule vivante dans un bocal ouvert situé en plein air. Après ce test, les chercheurs ont demandé à une partie des sujets de décrire précisément les émotions ressenties au moment de l'expérience (« je suis effrayé par cette horrible araignée », par exemple) et aux autres de relativiser ce moment stressant (« elle est plus petite que moi, elle ne peut pas me faire de mal »).

" Attentif au moment présent"

Une semaine plus tard, un deuxième test a eu lieu. Les sujets qui avaient exprimé leurs émotions sont allés plus près de l'araignée que les autres participants, et leur peur (mesurée par la transpiration au niveau de leurs mains) était la plus faible de tout le groupe. Plus étonnant, les mots les plus négatifs (comme « terrifiant ») ont entraîné les meilleures performances. Les scientifiques ont été réellement impressionnés par ces résultats, obtenus en une seule intervention. « Des effets encore plus importants » pourraient être atteints en multipliant les séances de ce type, envisage Michelle Craske qui a supervisé l'étude.

Contrairement aux méthodes classiques qui visent à minimiser - voire nier - ses craintes, les exprimer franchement permettrait donc de mieux les affronter, conclut la psychologue. Il faudrait même encourager tous les patients anxieux à verbaliser franchement leurs émotions, ajoute Matthew Lieberman, un autre membre de l'équipe. « Être attentif au moment présent et s'autoriser à vivre pleinement toutes ses expériences », c'est le conseil du chercheur pour se libérer de ses frayeurs.

Lire l'article sur Le Figaro.fr

lundi 4 juin 2012

MON ENFANT ENTENDS DES VOIX

Mon enfant entend des voix

Selon une étude psychiatrique irlandaise, plus d’un enfant sur cinq âgé de 11 à 13 ans, entendrait des voix. De quoi s’agit ? Faut-il s’inquiéter ? Pourquoi ce phénomène tend à disparaître avec l’âge ? Et si, adulte, j’entends des voix, suis-je vraiment sujet à des troubles mentaux ? Décryptage.
© Cuba Gallery
Mon enfant entend des voix... Comment dois-je réagir ? Que faut-il faire ?
Voilà un phénomène qui, si l’on en parle peu, s’avère plus courant qu’on ne le croit. Selon les conclusions d’une étude psychiatrique menée en Irlande, au Royal Collège of Surgeons de Dublin, sur 2500 enfants, âgés de 11 à 13 ans, plus d’un sur cinq serait susceptible d’entendre des voix. « Cela peut être un cri, des murmures, des phrases isolées voire des conversations durant quelques minutes, explique le Dr Ian Kelleher qui a dirigé l’étude. Certains adolescents souffrent d'hallucinations auditives tous les jours, d'autres qu'une fois par mois. » Quel est donc la nature de ce phénomène ? Une voix intérieure ? Un parasitage extérieur ? « J’appellerais cela des phénomènes extraordinaires de la conscience, explique le Dr Vincent Liaudat, psychiatre et psychothérapeute à Lausanne.
Savoir, en revanche, comment ces voix qui se manifestent à l’intérieur de la conscience de l’enfant sont produites est un mystère... S’agit-il d’une voix intérieure, qui a plusieurs couleurs ? S’agit-il de phénomènes extérieurs qui peuvent entrer en connexion avec des parties de la conscience capables de les entendre, et d’induire ces voix intérieures, voire quasiment extérieures, je ne m’aventurerai pas à donner une réponse. Personne ne le sait vraiment. » Toujours selon cette même étude irlandaise, ce phénomène tendrait à disparaître avec l’âge car seulement 7% des 13-16 ans entendraient des voix. Pourquoi les enfants d’un plus jeune âge seraient-ils plus enclins à vivre ce type de phénomène ? Ces conclusions posent à nouveau la question des capacités extra-sensorielles qui pourraient, selon certains spécialistes en parapsychologie, s’avérer plus développées chez les jeunes enfants. « Les jeunes enfants ont une capacité de rêverie et d’imagination beaucoup plus aiguisée, concède le Dr Liaudat. Et leur conscience est plus flexible, plus souple que la nôtre. Ils ne sont ni dans le mental, ni dans l’analyse mais plutôt dans le lâcher-prise.C’est lié à leur développement. Car la partie de la conscience - qu’on appelle l’ego et qui va nous permettre de nous différencier, de nous individualiser – est encore en construction. Ceci peut leur permettre de percevoir des phénomènes subtils dans des mondes subtils auxquels on perd accès en grandissant. »

Alors, finalement, si notre ado entend des voix, faut-il s’en inquiéter ou pas ? Pour, l’équipe psychiatrique du Royal College of Surgeons de Dublin qui a mené l’étude, « il n’y a pas d’inquiétude à avoir pour les jeunes enfants puisque le phénomène se dissipe avec le temps... ». Autrement dit, ce ne serait pas grave, si ce ne sont « que » des enfants. Néanmoins, passé un certain âge, entendre des voix peut, selon le Dr Kelleher, s’avérer être le signal d’alarme d’un problème sous-jacent plus profond car sur la totalité des 13-16 ans ayant des hallucinations auditives, 80% d’entre eux auraient un trouble mental diagnostiqué. Ce point de vue se réfère au DSM américain, manuel statistique et diagnostique des troubles mentaux, sur lequel s’appuie aveuglément un courant majoritaire de la psychiatrie française. Le Dr Liaudat ne partage pas ces conclusions hâtives. Il se veut plus nuancé, et pointe du doigt les conséquences néfastes de cette doxa chez les médecins psychiatres : « Il y a là un véritable enjeu de société, un enjeu de culture autour de ce type de phénomène. Le contexte culturel influence grandement l’interprétation qu’on va en faire.Historiquement, pour les psychiatres occidentaux, entendre des voix autrement dit l’hallucination acoustique - constitue un des seuls signes "pathognomoniques" d’une maladie mentale, c’est-à-dire un signe spécifique permettant de reconnaître une maladie. Exactement comme quand un généraliste va diagnostiquer une jaunisse, il va savoir qu’à coup sûr, c’est le foie qui est touché. Mais il est faux d’affirmer qu’entendre des voix présuppose systématiquement un trouble psychique ou une maladie mentale, chez les enfants comme chez les adultes d’ailleurs. J’ai connu beaucoup de patients qui entendent des voix et qui ne sont pas malades pour autant ! Il faut une série, un cortège de maux ou de signes psychiques avec une souffrance établie pendant un certain temps et avec une certaine intensité pour en conclure qu’il y a vraiment l’existence d’une pathologie. En Orient, quand les gens disent entendre des voix,on va plutôt avoir tendance à les écouter, et à attribuer cela au divin. Tout est une question de regard sur les choses. »
Source INREES